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Arrêtons la cruauté envers les animaux et la planète

Animaux de Ferme - Les abattoirs

Le temps qu’il en prend pour obtenir votre repas, le nombre d’animaux tués est égal à la population entière de San Fransisco.

Dans notre société «civilisée», l’abattage d’innocents animaux n’est pas seulement accepté mais un rituel établi. On ne se voit pas nécessairement comme faisant parti d’un culte mangeur de chair. Mais tous les signes sont là;

  • Peur de considérer choisir d’autres styles de diètes
  • Peur d’abandonner la sécurité du groupe
  • Peur lorsqu’il y a preuves de possibilités révélant que le Dieu des protéines animales n’est pas ce qu’on pensait être.

Nous sommes profondément programmé dans notre attitude envers la viande. Les hommes ont été conditionnés à attribuer la consommation de viande avec leur masculinité et plusieurs d’entre eux pensent que leur sexualité et virilité dépendent de leur consommation de viande. Notre langage est tellement diminué par des euphémismes et des clichés, nos expériences tellement appauvries par la répression, notre jugement tellement déformé par l’ignorance, que l’on peut facilement être tenu prisonnier par un point de vue sous l’emprise de notre conscience. Il a été dit que si nous avions à tuer nous-mêmes les animaux que nous consommons, le nombre de végétariens augmenterait de façon astronomique. Pour nous empêcher d’y penser, l’industrie de la viande fait tout en son pouvoir pour nous encourager à faire le vide à ce sujet. Résultat : la plupart de nous en savons très peu sur les abattoirs. S’il arrive qu’on y pense, on présume et souhaite probablement que les animaux ne souffrent pas en mourant rapidement et sans douleur. La réalité des abattoirs est bien différente de ce que l’on veut bien imaginer, pensant que les fermes industrielles sont comme les petites fermes de jadis. Les fermes industrielles n’ont rien à voir avec cette réalité. (Photo: L214)

Mais les individus qui font l’abattage pour nous savent ce qu’il en est. Une partie de leur travail les suivent chez eux lorsqu’ils retournent à la maison. Leurs oreilles sont agressées par les hurlements et cris des poulets, coqs, oies, veaux, vaches, porcs, le battement des ailes, les sabots qui frappent le sol. Le corps des animaux refuse toutes justifications ou excuses, chacun résistant à sa façon et essayant de s’échapper, s’obstinant avec le Créateur jusqu’à son dernier souffle. Les planchers sont glissants de graisses animales, de bains de sang et l’air est étouffante et imprégnée de senteurs nauséabondes et de cris d’animaux terrifiés.

La rotation des employés dans les abattoirs est la plus élevée de toutes les occupations. La plupart font de leur mieux pour rester « humain » dans de telles circonstances. Mais ces gens travaillent sous pression dans des conditions stressantes, pressé au-delà de leur capacité par la nature de l’environnement dans lequel ils travaillent. Ils évacuent souvent leur frustration la seule façon dont ils connaissent; sur les animaux. Les porcs augmentent l’agressivité et la violence des abatteurs en refusant de faire ce qu’on leur demande. Mais il y a une raison pour laquelle ces pauvres bêtes résistent de se conformer; ils sont comme tous les animaux, en accord avec leur environnement et sont profondément sensible au danger qui les attend. Ils sont terrifiés pour leur vie. (Photo: L214)

 

(Source et traduction: The Food Revolution, aux États-Unis.) Il ne faudrait pas croire que nous sommes blancs comme neige ici au Canada et que la situation ne nous concerne pas.